Il n’est pas là seulement pour des mobiles d’identité, de culture ou de langue, note-t-il. « Il est là pour des motifs économiques. Car il incarne lui-même la réussite économique.»
Trop peu de gens savent qu’indépendant, le Québec serait au 27e rang des 240 pays dans le monde, dit-il. «Mais pour cela, on a besoin de contrôler notre destin, notre économie. »
Il croit aussi que PKP saura attirer les jeunes au parti, une tranche d’âge des Québécois moins présents depuis quelques années. À preuve, dit-il ce dernier sondage sur Internet qui donne le PQ gagnant auquel plusieurs jeunes ont répondu.
Lui-même un des députés qui a appuyé PKP dans sa course à la chefferie du parti quelques semaines après avoir été élu nouveau député dans Richelieu, il conserve son mandat de porte-parole des ainés et critique de l’opposition officielle en cette matière.