Stéphane Langlois avait plaidé coupable à un chef d’accusation de possession de pornographie juvénile pour des faits qui sont survenus entre le 7 décembre 2012 et le 18 septembre 2013.
Le juge Denys Noël a consenti à lui imposer cette sentence minimale, à la suite d’une suggestion commune des avocats.
M. Langlois devra se soumettre à des traitements en lien avec son crime, en plus d’apparaître sur le registre des délinquants sexuels pour une période de 10 ans et de se soumettre à une période de probation de 12 mois. La Couronne a également demandé la confiscation et la destruction des éléments du crime, soit des clés USB et un ordinateur portable.