« Le choix du groupe a été facile puisque la passion et l’humour de ses membres vont vraiment de pair avec les valeurs du festival, soit offrir un moment où le fun est à l’honneur, et ce, pour toutes les générations », souligne la responsable de la programmation de l’événement, Audrey Pinard.
La première partie a été assurée par le groupe sorelois Cité Rock Ta Mère qui a offert au public des chansons des années 80. L’organisation, qui s’était fixé un objectif de 7000 festivaliers, a vu ses attentes être dépassées.
La présidente du comité Les Événements Diable au cœur, Virginie St-Denis, croit qu’avec les années le festival a pris beaucoup de maturité et d’ampleur. « Édition après édition, notre comité de 10 bénévoles se dévoue pour organiser un événement à l’image de notre communauté et surtout en l’honneur de la célèbre légende de la chasse-galerie d’Honoré Beaugrand. Cette légende est une fierté de chez nous », déclare-t-elle.
Tout au long de la semaine, plusieurs activités se sont tenues telles que le premier rendez-vous du parc Cartier-Richard avec Éric Bernier et l’Ensemble vocal Expression, la soirée dansante avec Johanne et Denis Berthiaume et l’activité lecture la légende de la chasse-galerie avec les tout-petits. Ce sont aussi tenus la deuxième édition de Rire en Diable et un traditionnel 5 à 7 MICROS. Simon Morin et le groupe Lendemain de veille ont foulé les planches de la scène au parc Antoine-Pécaudy le vendredi soir.
Les activités offertes lors des Diableries de Contrecœur sont gratuites.