23 mars 2016 - 00:00
Le Centre animalier a investi 60 000$ pour agrandir ses locaux
Par: Julie Lambert
Le Centre animalier Pierre-De Saurel est dans une phase d’expansion depuis son ouverture il y a à peine un an. | Photos: TC Média - Julie Lambert

Le Centre animalier Pierre-De Saurel est dans une phase d’expansion depuis son ouverture il y a à peine un an. | Photos: TC Média - Julie Lambert

Le Centre animalier Pierre-De Saurel est dans une phase d’expansion depuis son ouverture il y a à peine un an. | Photos: TC Média - Julie Lambert

Le Centre animalier Pierre-De Saurel est dans une phase d’expansion depuis son ouverture il y a à peine un an. | Photos: TC Média - Julie Lambert

Le Centre animalier Pierre-De Saurel est dans une phase d’expansion depuis son ouverture il y a à peine un an. | Photos: TC Média - Julie Lambert

Le Centre animalier Pierre-De Saurel est dans une phase d’expansion depuis son ouverture il y a à peine un an. | Photos: TC Média - Julie Lambert

Le Centre animalier Pierre-De Saurel est dans une phase d’expansion depuis son ouverture il y a à peine un an. | Photos: TC Média - Julie Lambert

Le Centre animalier Pierre-De Saurel est dans une phase d’expansion depuis son ouverture il y a à peine un an. | Photos: TC Média - Julie Lambert

Le Centre animalier Pierre-De Saurel est dans une phase d’expansion depuis son ouverture il y a à peine un an. | Photos: TC Média - Julie Lambert

Le Centre animalier Pierre-De Saurel est dans une phase d’expansion depuis son ouverture il y a à peine un an. | Photos: TC Média - Julie Lambert

En raison de la forte population d’animaux errants et des besoins de la population, le Centre animalier Pierre-De Saurel a dû investir 60 000$ dans un projet d’agrandissement seulement un an après son ouverture.

Les employés du centre animalier en ont eu plein les bras en seulement quelques mois d’activité. En plus de recueillir les animaux errants des municipalités de Sainte-Anne-de-Sorel, de Sorel-Tracy et de Saint-Joseph-de-Sorel, le personnel gère un service d’adoption et met en place une liste pour comptabiliser les animaux sur le territoire de la ville-centre.

Ouvert en janvier 2015, le refuge a accueilli entre ses murs, depuis son ouverture, 780 animaux. Parmi eux, 330 ont été adoptés ou transférés dans un autre refuge du Québec ou de l’Ontario.

La directrice du Centre animalier Pierre-De Saurel, Karine Marcotte, se réjouissait des bons résultats obtenus qui permettent à toutes ces bêtes à quatre pattes de ne pas être euthanasiées, mais de trouver une famille.

« Nous avons eu une année très positive. Ce sont de bonnes statistiques. L’entreprise avait des projets d’agrandissement et de rénovation du bâtiment, mais on ne pensait pas que cela irait si vite. Nous sommes un peu victimes de notre succès », mentionne-t-elle.

Les installations, situées sur la route Marie-Victorin, ont dû être agrandies. Le nombre d’enclos extérieurs et intérieurs a augmenté. Cette amélioration permet de hausser le confort des pensionnaires du centre, mais surtout, souligne Mme Marcotte, de faciliter leur adoption.

« Il n’y a pas une semaine où nous n’avons pas d’animaux laissés à notre porte, surtout en hiver. Grâce à notre agrandissement, nous avons plus que doublé notre capacité d’accueil. Les enclos extérieurs permettent aux animaux de dépenser leur énergie et aussi de sociabiliser », assure la directrice générale.

Près de 60 000$ ont été nécessaires pour réaliser les améliorations. Une bonne partie du montant provient du Centre local de développement (CLD) et le reste a été assumé par le centre animalier.

Une porte ouverte achalandée

Lors d’une visite officielle des nouvelles installations s’étalant sur près de 6000 pieds carrés le 18 mars dernier, plusieurs personnes étaient présentes, y compris les maires et des conseillers municipaux des villes desservies par le refuge animalier.

Les visiteurs ont pu découvrir les sections où les animaux sont mis en quarantaine à leur arrivée, la salle d’examen du vétérinaire où ils reçoivent des soins de santé ainsi que les enclos extérieurs et intérieurs pour les chiens et les chats.

Le centre, qui compte trois employés à temps plein et un autre à temps partiel, envisage encore des projets de développement, assure Mme Marcotte. En 2016, la directrice générale espère obtenir l’autorisation de relocaliser des animaux sauvages avec des cages-trappes. Le lancement d’un site Internet est aussi dans les plans de la direction.

« Nous prévoyons son lancement au printemps ou à l’été. Le site augmenterait notre visibilité et, du même coup, nous permettrait de rejoindre plus de gens. Beaucoup de personnes venant de l’extérieur viennent adopter des animaux. Notre but est vraiment de stimuler l’adoption », conclut-elle.

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