M. Chalifoux a dirigé une discussion au cours de laquelle il a prouvé qu’une entreprise peut respecter ses racines tout en franchissant des pas de géants dans de nouvelles directions. Il a parlé devant les participants à un colloque organisé par Dux, à Montréal, fin janvier, qui traitait notamment des initiatives alimentaires.
La croissance force une entreprise à resserrer ses règles de production, d’hygiène et de sécurité sans compromettre ce qu’elle a toujours été, a-t-il révélé.
« Mais on est devenu des créateurs de tendance. C’est ainsi qu’on se présente aux distributeurs qui ont appris à nous faire confiance et placent nos produits sur leurs tablettes » renchérit le directeur général de l’entreprise, Martin Valiquette.
Les entreprises de la taille de la Laiterie Chalifoux peuvent être plus audacieuses que les plus grandes, car moins soumises aux coûts exorbitants qui freinent l’innovation, explique-t-il.
« Nous on a une bonne taille pour faire affaire avec les grandes chaînes. C’est grâce à une équipe bien en selle qu’on peut y arriver, toujours à l’affût de nouveaux produits qu’on prend le temps de travailler. »
Au cours des dernières années, la Laiterie Chalifoux a lancé plus d’une quinzaine de nouveaux produits dont certains ne sont plus sur le marché, reconnaît-il. Mais ils sont demeurés à la base de nouveaux parfaits inspirés d’un produit italien adapté aux goûts d’ici.
Une deuxième intervention
La semaine dernière, à Drummondville, sa cousine Mélanie, directrice de la planification, et lui étaient les invités d’honneur du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation. Leur mandat: donner le ton et favoriser le dialogue entre tous les acteurs de la chaîne bioalimentaire présents, du consommateur au producteur. Cette rencontre en était une préparatoire au Sommet sur l’alimentation visant à doter le Québec d’une politique bioalimentaire.
« Nous sommes heureux de ramener la terre à la table et de redonner le plaisir de cuisiner soi-même, avec des aliments simples, purs et sains, provenant de cultures d’ici », leur ont dit Alain et Mélanie Chalifoux.
M. Chalifoux se promettait bien d’aborder les problèmes que vivent les transformateurs de la taille de son entreprise qui n’ont pas accès à des subventions pour introduire des innovations.
« On est à la fois trop gros et trop petit pour recevoir une aide qui nous serait précieuse », a-t-il soulevé.
La croissance force une entreprise à resserrer ses règles de production, d’hygiène et de sécurité sans compromettre ce qu’elle a toujours été, a-t-il révélé.
« Mais on est devenu des créateurs de tendance. C’est ainsi qu’on se présente aux distributeurs qui ont appris à nous faire confiance et placent nos produits sur leurs tablettes » renchérit le directeur général de l’entreprise, Martin Valiquette.
Les entreprises de la taille de la Laiterie Chalifoux peuvent être plus audacieuses que les plus grandes, car moins soumises aux coûts exorbitants qui freinent l’innovation, explique-t-il.
« Nous on a une bonne taille pour faire affaire avec les grandes chaînes. C’est grâce à une équipe bien en selle qu’on peut y arriver, toujours à l’affût de nouveaux produits qu’on prend le temps de travailler. »
Au cours des dernières années, la Laiterie Chalifoux a lancé plus d’une quinzaine de nouveaux produits dont certains ne sont plus sur le marché, reconnaît-il. Mais ils sont demeurés à la base de nouveaux parfaits inspirés d’un produit italien adapté aux goûts d’ici.
Une deuxième intervention
La semaine dernière, à Drummondville, sa cousine Mélanie, directrice de la planification, et lui étaient les invités d’honneur du ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation. Leur mandat: donner le ton et favoriser le dialogue entre tous les acteurs de la chaîne bioalimentaire présents, du consommateur au producteur. Cette rencontre en était une préparatoire au Sommet sur l’alimentation visant à doter le Québec d’une politique bioalimentaire.
« Nous sommes heureux de ramener la terre à la table et de redonner le plaisir de cuisiner soi-même, avec des aliments simples, purs et sains, provenant de cultures d’ici », leur ont dit Alain et Mélanie Chalifoux.
M. Chalifoux se promettait bien d’aborder les problèmes que vivent les transformateurs de la taille de son entreprise qui n’ont pas accès à des subventions pour introduire des innovations.
« On est à la fois trop gros et trop petit pour recevoir une aide qui nous serait précieuse », a-t-il soulevé.
Saviez-vous que…
La Laiterie a une fois de plus été agrandie de 3000 pieds carrés, en 2016. Un investissement de 4 M$ qui s’ajoute aux 20 M$ investis au cours des dernières années.
ANNÉE | PRIX | |
2016 |
– Prix Caseus – Prix du Conseil de la transformation alimentaire du Québec (CTAQ) – Trois prix du Grand Prix canadien des produits nouveaux. |
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2017 | Prix Gala Dux « Produit amélioré » – pour ses desserts de la collection Parfaits. |